ARLES VILLE au PASSE ROMAIN - PORT ANTIQUE - CITE TAURINE
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ARLES VILLE au PASSE ROMAIN
- PORT ANTIQUE -
CITE TAURINE de PROVENCE
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ARLES la ville . . .
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Riveraine du Rhône ( département des Bouches-du-Rhône ), deux fois classée par l’ UNESCO au PATRIMOINE MONDIAL de l’ humanité ;
- une fois pour sa richesse en bâtiments Romains parfaitement conservés .
- et une deuxième fois COMME VILLE PHARE d’un des ITINÉRAIRES des CHEMINS de COMPOSTELLE .
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LIEN vers nos ARTICLES sur le CAMIN ROUMIEU
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La cité est un des fleurons de la RÉGION SUD ( région Provence-Alpes-Côte d'Azur ) . Elle a la particularité d’être la plus grande commune de France métropolitaine avec quelque 75 893 ha ( dont une partie des immensités Camarguaises )
Avant l’OCCUPATION ROMAINE
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Durant l'âge du fer ( VIII éme au II éme siècles av. J.-C. ), Arles constitue l'un des principaux oppida des Pays Celtes méditerranéens .
La ville, a donc plus de 2 500 ans .
Les ROMAINS à ARLES
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Des monuments stupéfiants ont été bâtis durant l’Antiquité aux diverses époques de l’ occupation Romaine .
Ainsi ( liste non exhaustive ) , citons le théâtre antique, les arènes, le complexe funéraires des Alyscamps ou encore le cirque romain .
Au cours de plusieurs campagne de fouilles sub-aquatiques, en 2008, le plus vieux buste connu de Jules César a été découvert dans le Rhône .
De part son important patrimoine, la cité est classée Villes et Pays d'art et d'histoire et ses monuments romains et romans sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité depuis 1981 .
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LIEN vers SOMMAIRE des articles
PORT ANTIQUE
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Les plus récents sondages laissent penser que le port fluvial s’étendait sur plusieurs kilomètres sur les deux rives du Rhône ; une très intéressante maquette le suggère, exposée au musée archéologique ; ce musée concentre et présente les plus beaux sarcophages ( des Alyscamps ), de remarquables mosaïques et les objets collectés durant plusieurs décennies de fouilles subaquatiques, menées dans le Rhône .
Les plus récentes hypothèses font état du rôle primordial de ce port antique dans le déchargements des navires de haute mer remontant le Rhône, et le transfert de leurs frets sur des navires fluviaux, de plus petit tirant d’eau, remontant le fleuve en direction de VIENNE et LYON, importantes cités Romaines . . . et au-delà, par le cour de la Saône . . .
sortie de l'article par le SOMMAIRE du BLOG
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LES PONTS
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Le tout premier pont d’Arles traversant le Rhône était probablement un pont de bateaux romain, remplacé par le pont de CONSTANTIN au IV éme siècle . Du Moyen Âge jusqu’au XIX éme siècle, le Rhône est traversé alternativement par un bac ou un pont de bateaux . C’est finalement en 1875 que le premier pont moderne, en dur, est construit ; il s’agit du pont de Trinquetaille peint par van Gogh en 1888 . Détruit en août 1944 par les bombardements alliés, il est reconstruit au même emplacement en 1951 . Un second plus récent est mis en place en 1969 .
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LIEN vers nos articles sur LE MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE
Flâner dans les rues d’Arles, c’est le privilège de profiter des charmes d’une petite ville provençale pleine d’imprévue, ainsi nous avons apprécié . . .
CLOÎTRE SAINT TROPHIME
Moyen Age - XIIe-XIVe siècles
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Classé Monument historique (1846 et 1943)
Patrimoine mondial de l'Unesco (1981)
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Le cloître Saint-Trophime est au centre des bâtiments religieux de la cité épiscopale . A partir du XII éme siècle, les terrains au sud de la cathédrale Saint-Trophime sont occupés par deux grands ensembles :
- d'une part, le palais de l'évêque,
- d'autre part, le claustrum ( l’espace cloîtré ), un espace réservé à la communauté des chanoines, " ceux qui vivent selon les lois de l’Église ".
Vers cette époque, le Chapitre d'Arles adopte la réforme grégorienne . Celle-ci tente d'imposer une règle de vie commune à ces clercs chargés d'assister l'évêque et de gérer les biens de l’Église . On entreprit donc la construction de bâtiments conventuels organisés autour d'un cloître, afin d’accueillir leurs activités .
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LIEN vers l'article sur la PLACE de la REPUBLIQUE
Porche de SAINT TROPHIME - L'OBELISQUE ROMAIN
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Les BEAUTÉS de la PIERRE
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Les deux premières galeries, de style roman du cloître, présentent des sculptures d'une exceptionnelle qualité, véritables fleurons de l'art roman provençal . L'édifice sera complété au XIV éme siècle de deux autres galeries de style gothique .
Les modifications ultérieures de la cité épiscopale préserveront le cloître et ses salles adjacentes. Cependant le temps, l'érosion pluviale et la pollution atmosphérique mettront à mal ces joyaux de la statuaire médiévale .
A l’extérieur de la Cathédrale, citons son extraordinaire portail considéré comme le plus beau de Provence .
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LIEN vers l’article sur la PLACE et Le PORTAIL SACRE
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DIAPORAMA N° 1 ( automatisé )
les MONUMENTS ROMAINS
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LIEN vers l'ARTICLE spécifique sur les ALISCANS
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L' AMPHITHÉÂTRE ROMAIN
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L'amphithéâtre est le monument le plus important de l'ancienne colonie romaine qui nous soit permis d'admirer, quelque deux millénaires après sa construction .
Son architecture, traduit la maîtrise des architectes Romains, maîtres dans la conception et la réalisation de bâtiment spectaculaires, accueillant un nombreux public . Dans leur construction initiale, les gradins pouvaient recevoir environ 21 000 spectateurs, dont la circulation était savamment organisée par un réseau de portes, galeries et escaliers, sur plusieurs étages .
Converti, dès le début du Moyen Âge, en une véritable ville close et fortifiée, protégeant la population en ces temps troublés ; l'édifice ne fut dégagé qu'au XIX ème siècle . Les arènes retrouvèrent alors, pour partie, leur fonction initiale, notamment en abritant les spectacles tauromachique ; ceci expliquant leur dénomination actuelle d' "arènes ".
C'est aujourd'hui le monument de la ville le plus visité, emblématique image d'Arles dans le monde entier .
Avec un grand axe de 136 mètres de longueur et un petit axe de 107 mètres, l'amphithéâtre d'Arles est légèrement plus grand que celui de Nîmes et occupe le vingtième rang ( par leurs dimensions ) parmi ceux du monde romain . Il a une forme d'ellipse. La façade comprend deux niveaux de soixante arcades en plein cintre, séparés par des piédroits, massifs de section rectangulaire . Une ouverture plus large souligne les extrémités des deux axes du monument . L'entrée principale ne se trouvait pas au nord comme aujourd'hui, mais du coté ouest où l'on voit les vestiges d'un escalier donnant accès à la ville .
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Organisation intérieure du bâtiment
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La « cavea «, espace réservé aux spectateurs, comprenait 34 gradins, divisés en quatre séries :
les maeniana, où les spectateurs étaient répartis selon leur rang social .
Pour permettre aux visiteurs d'accéder aux différents gradins, les concepteurs, avaient développé un ingénieux dispositif de galeries circulaires, complété, de passages horizontaux, et d'escaliers disposés alternativement .
Au rez-de-chaussée, la galerie extérieure est particulièrement remarquable, notamment par sa couverture de grandes monolithiques . Elle donnait accès à une galerie intérieure, voûtée en plein cintre, qui s'ouvrait sur le premier « maenianum « ( sorte de balcon sur colonnade ) et sur la partie basse du deuxième . De la galerie extérieure, des escaliers permettaient également d'atteindre le premier entresol, d'où on avait accès soit au deuxième « maenanium «, soit à la galerie extérieure du premier étage . Ce système de circulation verticale et horizontale permettait ainsi d'atteindre le niveau le plus élevé de l'édifice, en respectant une grande fluidité dans la circulation du public . Un « attique «, aujourd'hui disparu, surmontait la façade ; là étaient fixés les mâts servant à tendre un « velum « ( immense toit de tissu ) destiné à protéger les spectateurs du soleil .
La partie centrale réservée aux jeux et combats (l'arène proprement dite) était séparée des gradins par un mur soigneusement appareillé : le mur du podium revêtu de grandes dalles de pierre. Le sol de la piste était plus élevé d'environ 2 mètres que le niveau actuel. Il était en effet formé d'un plancher en bois, dont les lames reposaient sur un bourrelet de pierre, au sommet de la partie inférieure du podium. La machinerie nécessaire aux spectacles logeait entre les murs et socles qui assuraient la stabilité de l'arène
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LIEN vers l'article OBJETS de la
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Influences diverses ayant créés le BLASON D’ARLES
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Comme beaucoup d’autres, le blason d’Arles comporte plusieurs références historiques . Le passé romain de la cité est rappelé par l’étendard tenu par le lion en souvenir de la fondation de la colonie en 46 av. J.-C. et par l’inscription CIVitas ARELatensis évoquant l’époque de CONSTANTIN I er qui fit d’Arles une des capitales de l’Empire.
C’est le premier âge d’or de la « petite Rome des Gaules » qui deviendra un grand centre religieux aux premiers temps de la Chrétienté . De cette période, le blason de la ville a gardé le monogramme du Christ ( XP ) au sommet de la bannière portée par le lion . Enfin avant de perdre son autonomie en 1251, Arles s’était rapproché de Venise .
Le lion d’Arles aurait-il pour origine le fameux lion de saint Marc, emblème de la Sérénissime ( Venise ) ?
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DIAPORAMA N° 2 ( automatisé )
EGLISES d'ARLES
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LIENS vers d'AUTRES ARTICLES sur la VILLE D'ARLES
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SITES GALLO-ROMAINS ( l'univers Gallo-Romain )
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CAMIN ROMIEU -CHEMIN D'ARLES vers ST JACQUES de COMPOSTELLE
-1- ARLES CITE ROMAINE et PROVENCALE
-2- ARLES MUSEE - STATUAIRES et SCULPTURE - MOSAIQUES
-3- ARLES MUSEE - OBJETS de la VIE QUOTIDIENNE
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